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Un an après mon arrivée à l’Agence Middle

Nous y voilà, un an après. 365 jours. 52 semaines.

Des nouvelles connaissances, des erreurs (mais c’est en faisant qu’on apprend), des réussites, des projets aboutis, des rencontres. Si je devais vous faire un résumé en quelques mots de mon année à l’Agence, ça ressemblerait à ça. Mais si vous êtes arrivé jusqu’ici, c’est que vous voulez en savoir un peu plus. Alors je vous livre (encore) une petite partie de mon histoire: mon évolution professionnelle de la dernière année.

Si vous étiez avec nous il y a un an exactement, vous me connaissez déjà un peu et vous savez comment j’ai atterri ici. Si non, je vous conseille d’aller lire cet article afin d’en apprendre un peu plus sur la jeune fille dont vous lisez les mots actuellement.

Commençons par un petit retour en arrière. 

Marie un an après

6 juillet 2020. 

J’arrive à la Maison Notman à (approximativement) 8h56, et me rends compte assez rapidement que je ne connais pas le numéro du bureau de l’Agence. Montée de stress, car il me reste moins de 5 minutes pour ne pas être en retard à mon premier jour de mon vrai premier travail. Je vais instinctivement au deuxième étage (là où j’ai passé mon entrevue avec l’équipe). En arrivant dans le couloir, il me semble reconnaître la voix de Karelle et j’en suis la direction. Je frappe donc à la porte 207 et me retrouve face à ma nouvelle boss. 

Sa première réaction? “Mais qu’est-ce que tu fais là?”

Ma réponse qui est sortie à voix haute? “C’est mon premier jour…” (sur un ton insécure au possible).

Ma réponse dans ma tête? “Est-ce que j’ai bien été embauchée ou j’en ai rêvé?” (une larme prête à couler).

La résolution de ce malentendu: nous étions supposées travailler chez nous (Juillet 2020 = Covid), mais j’étais tellement pressée de commencer qu’apparemment cette information m’a totalement échappée. 

Un an après, me voilà gestionnaire de projet, toujours à l’Agence Middle et surtout toujours pressée de commencer le matin.

Si vous m’aviez demandé où je me verrais il y a un an, avec quels centres d’intérêts et quelles expertises, je ne pense pas que j’aurais eu la bonne réponse. J’aurais certainement dit quelque chose comme une spécialisation dans le design graphique ou dans la rédaction web. Ne vous méprenez pas, la création de visuels optimisés et la rédaction font toujours partie de mes tâches! Mais à ma grande surprise, ce ne sont pas celles qui me font le plus vibrer. 

Non, j’ai découvert un nouvel intérêt grâce à l’Agence, que j’ai l’opportunité de mettre en œuvre sur plusieurs de nos mandats: l’optimisation de sites web. Par optimisation de sites web, j’entends la refonte visuelle pour refléter au mieux l’image de marque du client, et son optimisation SEO. La première partie met sans cesse mon côté créatif au défi, chose qui me stimule particulièrement. La seconde me permet d’en apprendre un peu plus chaque jour grâce à des formations et des applications sur notre site (dans un premier temps), puis sur ceux de nos clients.

C’est donc ça, entre autres, qui me motive à me lever le matin.

En tant que gestionnaire de projet, comme vous vous en doutez, j’ai mené plusieurs projets à bien. Je suis fière de tous, mais certains ont plus particulièrement flatté mon ego. La refonte visuelle de plusieurs sites de clients, la création et l’amélioration du référencement de notre site, et le renouvellement de la grande majorité de mes mandats, pour ne citer que ça. La meilleure partie? Lorsque mes clients, leurs proches ou les miens me font des compliments sur mon travail. Cela me motive encore plus à continuer d’apprendre pour m’améliorer sans cesse sur la qualité de ce que je fournis.

Et l’aspect personnel dans tout ça?

Je suis épanouie.

Je suis épanouie car j’ai la chance d’évoluer dans une équipe où l’écoute est toujours mise de l’avant. Où le soutien et l’encouragement sont présents à tous les jours. Où j’ai la chance de pouvoir faire des formations sur ce qui m’intéresse réellement. Où le rire et les discussions de “tranches de vie” ne laissent aucune place à la monotonie du travail à la maison. Où le mot “amies” précède le mot “collègues”.

Je suis aussi toujours en apprentissage, mais on m’a dit un jour que même à 54 ans on en apprend encore. Alors je prends plaisir à me spécialiser dans les domaines qui m’intéressent. 

Enfin, un an après, comment définirais-je Middle?

Opportunité. Car on me laisse clairement le choix de me spécialiser, de suivre des formations dans ce qui me passionne. Et en début de carrière, ce n’est pas une chance donnée à tout le monde, donc j’en profite un maximum pour me créer un bagage bien rempli.

Confiance. Car on salue mon travail quand je le réussi, et on me laisse apprendre de mes erreurs lorsque je me trompe. Et à la fin de la journée, rien n’a changé. Car malgré toutes nos qualités à l’Agence, aucune de nous n’est parfaite, mais nous nous soutenons dans chacune de nos erreurs pour en sortir grandies.

Liberté. Car on me laisse être moi-même, exprimer ma créativité, exploiter mes envies et idées. Car je me sens bien, appréciée et respectée. Et ça, pour un premier emploi, c’est un luxe dont je suis bien consciente.

Nous voilà donc, un an plus tard. Toujours avec ma grande curiosité, mon amour pour la rédaction et mes idées créatives. Mais avec de nouveaux centres d’intérêts et (beaucoup de) nouvelles connaissances. Et ce n’était que la première année.

Marie

Gestionnaire de projet

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